Essayez une minute d'imaginer un refuge de 100 places occupé par 12 alpinistes, une météo et des conditions de rêve.
Imaginez encore un lever de soleil miraculeux, vous mettez votre baudrier et vos crampons, il fait presque chaud, vous êtes au pied du Mönsch, seuls.
La neige est dure, les rochers secs, et vous entammez votre ascension calmement, sans la pression habituelle sur ce type de montagne à portée de train ou de téléphérique.
L'arête sommitale est proche, il n'est pas 9 heures, le train n'a pas encore déversé ses touristes, la montagne nous appartient encore pour ... quelques minutes !
Merci Laurent pour cette belle journée partagée.