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Le massif du Siroua plus au sud que la région du Toubkal, lui aussi, nous gratifie de l’ascension d’un très joli sommet de 3305 mètres.
Très différent de son versant nord, le côté sud du Haut Atlas a l’air plus débonnaire et plus sec. En réalité, les trekkings possibles suivent le lit des rivières et croisent les villages où l’on cultive le safran ou les iris à des fins médicales.
C’est une région extraordinaire, un véritable enchantement au printemps qui m’a donné l’idée de mettre au programme en 2009 un nouveau trekking qui traversera l’Atlas du sud au nord, de Aït Tiga à Aremd.
Je m’en réjouis déjà !